vendredi, 22 novembre

Dans le cadre du programme de développement local de 145 territoires ,le comité de pilotage a  annoncé  ce jeudi, bientôt  l’inauguration de 400 ouvrages construits; C’était au cours de la réunion de la mise en œuvre de ce programme conduit par le 1 er Ministre Jean Michel Sama Lukonde.

Le porte parole du Gouvernement qui l’ a confirmé, qu’il y a déjà plus de 300 à 400 ouvrages déjà disponible. » Il faut dire que nous avons été plutôt satisfait de voir que , malgré certaines difficultés, notamment dans certains territoires dans l’ Est mais toutes les agences ont bien évidemment lancé tous les travaux. Aujourd’hui, S’il faut faire une évaluation de tout ce qui a été dit, il y a plus de 300 à 400 ouvrages qui sont déjà prêts  » a  indiqué Patrick Muyaya.

Dans le cadre de ce même programme le gouvernement attend a peu près  1200 écoles, 500  ou 700 centres de Santé, 145 bâtiments administratifs. Le porte parole a ajouté que :  » Nous sommes plutôt satisfaits que dans les jours qui viennent , on va faire une programmation pour qu’ on commence la phase des inaugurations pendant que d’autres composantes sont entrain de se mettre en place conclut- il .

Le projet de développement de 145 territoires  est évalué à la hauteur de 1,66 milliards USD pour améliorer la vie des populations rurales, redynamiser les économies locales , et transformer les conditions et le cadre de vie des populations congolaises vivant dans les zones jusque là mal desservies par les infrastructures et services sociaux de base note le document produit par le gouvernement. Ce coût total prend aussi en compte les composantes transversales notamment les charges de coordination et de gestion , les frais agences d’exécutions et une provision de 5% pour les études préalables et les imprévus.

A travers ce projet le gouvernement vise à relancer l’économie du pays à partir de pôles de croissance locale en même temps réduire la dépendance des importations des biens intermédiaires , des produits alimentaires de base, en soutenant la production intérieure des biens de consommation courante  pour garantir sa souveraineté alimentaire.  En outre renforcer la résilience aux chocs exogènes et diversifier les sources de croissances.

jenny KILELE.

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